The Transat CIC: Des débuts forts en mer !

The Transat CIC: Des débuts forts en mer !

Le départ de la Transat CIC a eu lieu le dimanche 28 avril à 13h30. Les 48 concurrents ont pris le large depuis Lorient pour entamer une traversée transatlantique vers le nord, qui s’annonce déjà comme un défi de taille. En effet, les marins devront affronter des conditions météorologiques difficiles avec des routes de près prévues pour la majeure partie du parcours.

Après un départ remarquable dans les eaux majestueuses des coureaux de Groix, Fabrice Amedeo s’est engagé avec détermination en direction du nord-ouest, accompagné par le peloton des compétiteurs. Les dernières 24 heures ont été particulièrement agitées pour Fabrice, naviguant dans des vents violents soufflant jusqu’à 40 nœuds. Malgré ces conditions météorologiques hostiles, son navire a su maintenir de solides performances, lui permettant ainsi de distancer ses adversaires les plus proches.

À l’heure actuelle, les IMOCAs font route vers le centre d’une dépression, signalant des conditions de vent instable. Dans les prochaines 24 heures, un flux de nord vigoureux et des vagues agitées les propulseront inexorablement vers leur destination finale, le nouveau continent.

Fabrice Amedeo: « La transat CIC tient ses promesses. Le rythme est intense et il faut trouver les bons moments pour se reposer car ils sont rares ! J’ai passé la nuit à me battre pour m’extirper du centre de la dépression située au sud ouest de l’Irlande. Ce matin, c’est calme avec du soleil, mais le vent va progressivement forcir dans la traine de la dépression et surtout la mer se former pour atteindre plus de 4 mètres. Le bateau est prêt ! Je profite d’un rayon de soleil avant de m’enfermer sous ma casquette pour le reste de ma journée. »

Fabrice Amedeo évolue actuellement dans une zone météorologique caractérisée par des vents forts de secteur nord, accompagnés d’une mer agitée affichant des vagues de 3 à 5 mètres. En optant pour une trajectoire plus resserrée, il a réussi à réduire la distance à parcourir. Cependant, cela implique un angle moins favorable au vent que celui des bateaux positionnés plus au nord.
Dans les heures à venir, notre skipper se prépare à affronter des vents soutenus allant de 25 à 40 nœuds pendant au moins 24 heures. Cette phase de la course mettra à l’épreuve la vitesse des bateaux, les propulsant vers une zone de transition avant de faire face à une deuxième dépression.
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